LES MOYENS DE COMMUNICATION
Lucie, Maëllys et Cheyenne
Nous allons vous présenter notre thème que nous avons travaillé pendant les cours de MIP (Module d’Initiative Professionnelle), nous avons travaillé avec l’association des blés d’or depuis septembre 2020 et avons recueilli plusieurs de leurs témoignages,
Les moyens de communication
A l'époque, il n’y avait pas de téléphone portable, pas d’ordinateur, pas d’internet. Ils ne connaissaient pas Google, ni les réseaux sociaux. Il n’y avait qu’un seul opérateur téléphonique (service publique )
Les PTT étaient la poste , téléphone , télégramme . Le service regroupait le courriel , les téléphones , et des comptes CCP .
Avant 1970, ils communiquaient essentiellement par courriers, même s'il y avait déjà quelques téléphones. Pour pouvoir téléphoner, le plus souvent, il fallait aller à la poste, il y avait une cabine à l’intérieur. A partir de 1970, le téléphone fixe avec fils à été installé petit à petit dans les maisons individuelles (pas plus de 50 cm de fils).
Les lettres mettaient 2 jours pour arriver. Pour écrire à l’étranger il fallait du papier spécial, « courrier par avion », le papier était fin et léger. Le prix de l’envoi était au poids.
Il y avait aussi des télégrammes qui était en cas d’urgence. En général, recevoir un télégramme annonçait une mauvaise nouvelle. Le télégramme était importé par un télégraphiste. Le texte du télégramme devait être court, clair et précis car le prix était au nombre de mots. Il n’y avait pas de téléphone avant 1973.
On pouvait trouver à Bengy, un bureau de poste, situé au même endroit qu’actuellement. Il était ouvert tous les jours sauf le samedi après-midi et le dimanche. Une cabine téléphonique, se trouvait également en face de l’épicerie (a la place de la poubelle actuellement ). Elle ne fonctionnait plus depuis plusieurs années et a donc été enlevée récemment. Il y avait différents prix pour les timbres, en fonction du poids des lettres et leur distance pour l’étranger. Il y avait un prix pour les cartes postales (courriers sans enveloppe ). Pas de distinction de courriers rapides ou lents comme maintenant.
« J’habitais dans un hameau loin du village et mes parents avaient accepté l’installation d’un téléphone public chez eux. Les habitants pouvaient venir téléphoner comme dans une poste. Mes parents devaient également prévenir de nuit comme de jour, les voisins s’ils avaient reçu un appel pour eux. En contre partie, ils ne payaient pas leurs communications personnelles. Il y avait sur leur maison, un panneau indiquant «téléphone public. »
Témoignage d'Elisabeth
« Quand j’étais en vacances chez mes grands-parents, j’envoyais immédiatement une lettre à mes parents. Il fallait la poster avant l’heure de départ du courrier.»